Les Dires de Zeta: Maladies Auto-Immunes


Les maladies auto-immunes sont parmi les plus pénibles, à la fois pour le patient et le docteur, car le sort des choses est lié à la réponse physique souvent considérée comme le remède : la réponse immune. Pour essayer d’y faire quelque chose, les médecins humains font de leur mieux pour freiner ou neutraliser le système immunitaire, toutes choses introduisant une nouvelle série de problèmes dans le décor. Une situation de non-succès. Le malade et ceux qui en prennent soin observent avec angoisse le corps faire son possible pour se détruire lui-même. L’ennemi est à l’intérieur, et de plus d’une façon, car la configuration psychologique du malade et de ses soignants a une part significative dans le problème. Dans nos observations, nous avons remarqué que les humains ayant des réponses auto-immunes sont confrontés simultanément à une situation où on les aime à la folie et dans le même temps on ne les aime pas du tout. Un piège qu’ils hésitent à quitter et leur maladie les affaiblit souvent au point qu’ils ne peuvent pas partir, et il s’ensuit donc une marche vers la mort.

Le système immunitaire est sensible à l’état psychologique, c’est un fait dont sont effectivement conscients les médecins humains. Les malades du cancer choisissent souvent de mourir en maintenant l’état dépressif qui a précédé la maladie. Une fuite rapide et quelque peu horrible, et de nature à punir ceux contre lesquels le patient est en colère, à savoir la famille qui doit assister au processus. Dans les maladies auto-immunes, comme dans les allergies, le problème est le revers, à savoir une réponse immune suractivée ou plutôt hyper sensible. Le corps est comme un arc trop tendu qui fait un bruit sec à chaque fois qu’on le touche. Ce n’est pas le résultat de la dépression, un désir de mort, mais un désir élevé de survivre, de vivre. Le corps perçoit le danger, du fait de la situation psychologique, et se mobilise. Les maladies auto-immunes montrent fréquemment des rémissions puis de nouveaux assauts, et cela en vagues, et ceux qui sont en dehors de la situation peinent à interpréter la chose. Parfois la maladie disparaît elle complètement, elle part tout simplement. Si les circonstances sont analysées dans une perspective psychologique, au regard des sourire aimants et des tendres caresses, on verra de quoi nous parlons.

Le patient est souvent sous la poigne de fer de quelqu’un qui a réduit sa vie à néant, un vide stupide et ennuyeux sans but ni véritables émotions. Ramenez le malade à des échanges normaux comme il y en a dans la vie, sans répercussion sur lui, et regardez ce qui se produit!